Rencontre et Dédicace avec Olivia Gerig et Guillaume Delbos le mardi 12 septembre à 18h30

Olivia Gerig viendra dédicacer – Witch Hunt publié aux éditions Romann, Hantise au Locle publié chez Auzou suisse dans la collection Horreur Suisse.
Guillaume Delbos viendra dédicacer – Nos Emprises publié aux éditions Romann.

Witch Hunt

La chasse aux sorcières

Alors qu’un couple va y célébrer son mariage, les cadavres de deux adolescents sont découverts sur des bûchers dans la cour du château d’Avully à Brenthonne. La mise en scène macabre rappelle la sombre époque de l’inquisition et de la chasse aux sorcières. Appelée en renfort par le procureur de Thonon, la capitaine Aurore Pellet de la police judiciaire d’Annecy va se lancer dans une enquête difficile, la confrontant aux fantômes du passé, à sa propre condition de femme et aux dérives de la société d’aujourd’hui, aux frontières du virtuel, du réel et du paranormal.

Un livre que je recommande, haletant qui aborde des sujets graves mais sans jamais être pesant. Très bien construit, accompagné de superbes citations.

Hantise au Locle

 Lina et Théo Favre partent pour quelques jours de vacances  avec leur mère au Locle, chez Manon, une amie artiste peintre qui vient d’acheter un manoir à rénover. Mais très vite, le séjour tourne au cauchemar : anciennes tombes découvertes,  bruits inquiétants, apparitions… La bâtisse est hantée par un fantôme maléfique, furieux de voir des intrus chez lui et prêt à tout pour se débarrasser d’eux.
 
La famille Favre, paniquée, trouvera-t-elle dans le passé du fantôme la clé pour sortir indemne de ce lieu ?  La vieille libraire du village, qui semble bien informée sur l’histoire du manoir, pourra-t-elle les aider ? »
Guillaume Delbos
Nos emprises

Lorsque Victor entre en contact avec la célèbre peintre Léopoldine M. sur Instagram pour discuter avec elle de projets professionnels, il ne se doute pas que cette rencontre dériverait en une histoire plus personnelle, proche de l’addiction et de la destruction.

Nos Emprises, c’est l’autopsie d’une emprise relationnelle née des réseaux sociaux, de la déchéance d’une de ses starlettes, et l’analyse de ceux-ci et de cette génération du paraître, déresponsabilisée de ce qu’elle crée, de l’envie, du manque et de l’obsession.

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